Ne pense pas en termes de manque, pense en termes de possibilités
Le regard que nous portons sur la vie façonne notre expérience. Deux personnes peuvent traverser la même situation, mais l’une y verra un mur, l’autre une porte. La différence ne réside pas dans les faits, mais dans la manière de penser.
Quand nous pensons en termes de manque, nous réduisons le champ de nos possibles. Nous nous enfermons dans la peur de ce qui nous manque, dans l’angoisse de ce que nous n’avons pas encore, dans l’illusion que nous sommes incomplets. Cette vision limite nos élans, freine nos choix et éteint nos rêves.
Mais lorsque nous pensons en termes de possibilités, tout change. Nous ne regardons plus ce qui manque, mais ce qui peut naître. Nous cessons de voir un vide, et nous commençons à voir un espace ouvert. Le manque se transforme en invitation à créer, à imaginer, à oser.
La graine pourrait se croire petite et insignifiante… mais en elle se trouve déjà la promesse d’un arbre. De même, chaque instant contient une puissance infinie de renouvellement. Ce que tu crois absent n’est pas un vide, mais un espace que la vie t’invite à remplir par ton courage, ta foi et ton action.
Ne pense pas : « Je n’ai pas assez », mais plutôt : « Que puis-je faire avec ce que j’ai ? »
Ne dis pas : « Je ne suis pas prêt », mais plutôt : « Quelle première étape puis-je poser aujourd’hui ? »
Le manque enferme, la possibilité libère.
Le manque te fait regarder vers ce qui n’est pas, la possibilité te révèle ce qui peut être.
Alors souviens-toi : ta vie n’est pas définie par ce qui te manque, mais par ce que tu oses créer avec ce que tu as déjà.
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